De nouvelles formations d’ingénieur reconnues au Québec
25/11/2020
Le 22 octobre dernier, la Commission des titres d’ingénieur (CTI), la Société des ingénieurs et scientifiques de France (IESF) et l’Ordre des ingénieurs du Québec ont signé un avenant à l’arrangement de reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles des ingénieurs conclu entre la France et le Québec 12 ans auparavant.
L’objectif de cet avenant est de continuer à faciliter la mobilité professionnelle des ingénieurs diplômés français et québécois et à installer dans la durée la confiance et la compréhension mutuelle des systèmes de formations d’ingénieur de chaque pays.
Pour cela, l’avenant prévoit la reconnaissance de plus de 150 formations d’ingénieur françaises supplémentaires au Québec, portant le nombre total de formations reconnues à 562.
Les démarches pour obtenir le titre d’ingénieur et exercer en tant qu’ingénieur au Québec sont également modifiées et allégées. La procédure comprend un enseignement théorique (formation de 30 heures maximum sur « les lois et les règlements régissant l’exercice de la profession d’ingénieur, l’éthique et la déontologie ainsi que les normes de pratique professionnelle applicables au Québec », avec un examen en fin de formation) et l’accomplissement d’un « stage d’adaptation » de 24 mois. Les expériences professionnelles acquises, en France, au Québec ou ailleurs, pendant ou après la période de formation, peuvent faire l’objet d’une reconnaissance et d’une validation par l’OIQ, permettant ainsi de réduire la durée du stage d’adaptation.
Au Québec, ce sont 175 nouveaux ingénieurs français qui sont accueillis chaque année. Depuis 2008, ils sont près de 1 400 à avoir bénéficié des termes de cet accord. Les parties prenantes s’engagent à poursuivre les échanges afin d’établir une révision annuelle des formations d’ingénieur françaises reconnues au Québec et de permettre ainsi à un plus grand nombre de diplômés français d’exercer en tant qu’ingénieur au Québec.
Au nom des écoles d’ingénieurs françaises, la CDEFI se félicite de la signature de cet avenant, témoin d’une coopération fructueuse entre la France et le Québec dans le domaine de la formation des ingénieurs. Elle espère que cet avenant ouvrira de nouvelles portes professionnelles aux diplômés des écoles d’ingénieurs françaises qui souhaitent s’installer au Québec et qu’il contribuera au rayonnement de la qualité des formations des écoles d’ingénieurs françaises à l’étranger.
Pour consulter l'avenant, suivez ce lien.
L’objectif de cet avenant est de continuer à faciliter la mobilité professionnelle des ingénieurs diplômés français et québécois et à installer dans la durée la confiance et la compréhension mutuelle des systèmes de formations d’ingénieur de chaque pays.
Pour cela, l’avenant prévoit la reconnaissance de plus de 150 formations d’ingénieur françaises supplémentaires au Québec, portant le nombre total de formations reconnues à 562.
Les démarches pour obtenir le titre d’ingénieur et exercer en tant qu’ingénieur au Québec sont également modifiées et allégées. La procédure comprend un enseignement théorique (formation de 30 heures maximum sur « les lois et les règlements régissant l’exercice de la profession d’ingénieur, l’éthique et la déontologie ainsi que les normes de pratique professionnelle applicables au Québec », avec un examen en fin de formation) et l’accomplissement d’un « stage d’adaptation » de 24 mois. Les expériences professionnelles acquises, en France, au Québec ou ailleurs, pendant ou après la période de formation, peuvent faire l’objet d’une reconnaissance et d’une validation par l’OIQ, permettant ainsi de réduire la durée du stage d’adaptation.
Au Québec, ce sont 175 nouveaux ingénieurs français qui sont accueillis chaque année. Depuis 2008, ils sont près de 1 400 à avoir bénéficié des termes de cet accord. Les parties prenantes s’engagent à poursuivre les échanges afin d’établir une révision annuelle des formations d’ingénieur françaises reconnues au Québec et de permettre ainsi à un plus grand nombre de diplômés français d’exercer en tant qu’ingénieur au Québec.
Au nom des écoles d’ingénieurs françaises, la CDEFI se félicite de la signature de cet avenant, témoin d’une coopération fructueuse entre la France et le Québec dans le domaine de la formation des ingénieurs. Elle espère que cet avenant ouvrira de nouvelles portes professionnelles aux diplômés des écoles d’ingénieurs françaises qui souhaitent s’installer au Québec et qu’il contribuera au rayonnement de la qualité des formations des écoles d’ingénieurs françaises à l’étranger.
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